Category: mp3
Three Blind Mice – See How They Run
1.Viper Mad
2.Echoes of Spring
3.Fidgety Feet
4.Black Beauty
5.Carolina Shout
6.Southern Sunset
7.Humoresque
8.Don’t Be That Way
9.Four Brothers
10.Panama
11.Home
12.The Jitterbug Waltz
13.Chloe
14.Russian Lullaby
15.Three Blind Mice
Felix Hunot: Guitare/Chant
Malo Mazurié: Trompette/Cornet
Sebastien Girardot: Contrebasse
Liner Notes:
Three Blind Mice est une ronde enfantine en forme de canon datant de 1609. Quatre siècles plus tard, nos ‘trois petites souris aveugles’ d’aujourd’hui ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd, car je me suis vite aperçu que ces trois individus ont comme amusement principal de prendre la musique au sérieux.
Jazz de chambre, jazz de poche : imaginez, il n’y a même pas de piano, ni de batterie ! Et pourtant ça fonctionne : ce trio vous fait réellement croire qu’ils sont au moins quatre, car chacun sait se démultiplier, augmenter son espace sans grignoter celui des deux autres. Pas facile de s’investir autant, mais ils sont costauds ces rongeurs ! Et puis les arrangements inventifs y sont pour quelque chose ; recherche de la variété : changement de tempos, de couleurs, de tonalités, breaks fréquents, utilisation de tous les possibilités de chaque instrument. On y ajoutera le choix minutieux du répertoire, parfois insolite : par exemple transvaser deux solos fameux de piano stride (Echoes of Spring et Carolina Shout) dans un trio d’où le piano est banni ! Mais aussi réduire au maximum des arrangements de big band (Don’t Be That Way, Four Brothers) qui changent de peau en évitant la peau de chagrin. Variété aussi dans les rythmes, du latin à la biguine (Humoresque, Panama, Three Blind Mice).
Pour ceux qui aiment les références et les comparaisons, on peut évoquer le trio cool West Coast du compositeur de Four Brothers, Jimmy Giuffre (celui où on l’entend à la clarinette, en compagnie du guitariste Jim Hall et du bassiste Red Mitchell en 1959) et aussi le quartette du cornettiste Ruby Braff en compagnie du guitariste George Barnes (1973-75).
Le trio des « Three Blind Mice » : une musique subtile, ductile… et utile… à tous les « Cats » friands de toutes les belles surprises que le jazz n’a pas fini de nous faire entendre.
Philippe Baudoin
Trois amis, trois passionnés, trois fous de jazz traditionnel : voila le point de départ de l’aventure “Three Blind Mice” !
A la fois généreux accompagnateurs et solistes hors pair, ces musiciens s’illustrent dans un style frais et énergique, nourri d’une complicité contagieuse et d’un sens affuté du challenge.
Les Three Blind Mice sont fascinés par les maîtres du tout jeune jazz (Bix Beiderbecke, Jelly Roll Morton, Louis Armstrong) et trouvent dans les enregistrements des années 1920 / 1930 un terrain propice a leur complicité.
Ces virtuoses s’appliquent à mettre en lumière les contours, les particularités et les rythmes qui confèrent à ce répertoire toute son originalité et sa magie.
‘Live’ in Foix Tcha Limberger Trio with Mozes Rosenberg
Track list – 1: My Blue Heaven; 2: Avalon; 3: Pour Que Ma Vie Demeure; 4: I Surrender Dear; 5: Moonglow; 6: Topsy; 7: Flamingo; 8: Someday You’ll Be Sorry; 9: Some of These Days; 10: Clair De Lune; 11: What Is This Thing Called Love
Personnel – Tcha Limberger: violin and vocals; Mozes Rosenberg: guitar; Dave Kelbie: rhythm guitar; Sébastien Giradot: contrabasse
Released – 2017
Label – lejazzetal Records
Runtime – 1:01:22
Although this album finds Mr. Limberger primarily on violin which he plays with enormous skill, supplying the requisite emotional density and his playing is fluid and beautifully controlled and exemplary throughout, he does sing on two tracks, scatting (“I Surrender Dear”) and singing expressivo wordlessly executing a succession of breathtaking passaggio phrases on “Someday You’ll Be Sorry”, while executing diabolical double, triple and quadruple stops on “Flamingo”. The album showcases the water-colours of Django Reinhardt’s “Clair De Lune” and a memorable version of Cole Porter’s “What Is This Thing Called Love”.
Mozes Rosenberg’s appearance on this recording adds enormous heft to the music and the guitarist plays with great virtuosity and character. His articulation is pure and in his extraordinary use of dynamics the absent characters in the music’s narratives live and breathe as if they suddenly appeared in front of you. Among the absolute high points on the disc is the bridge on “Avalon” where Mr. Limberger and the guitarist combine in a series of Paganini-like inversions.
The core of this group also includes Mr. Limberger’s life-long musical partners – Dave Kelbie, a rhythm guitarist of such astonishing power and skill, and so flawless a sense of time that he obviates, as always, the need of a drummer. The other musical cohort is Sébastien Giradot, a supremely lyrical contrabassist who also adds light and shade to the music as a painter daubs a canvas with colour. Together, the four musicians succeed in making this an album to die for.
RAUL DE GAMA
World Music Report
Brad Child meets la Section Rythmique
Brad Child meets La Section Rythmique: Exactly Like You, When I Grow Too Old To Dream, Poor Butterfly, Pennsylvania 6-5000, The Very Thought Of You, When My Dreamboat Comes Home, Stars Fell On Alabama, Slow Hot Wind, I’ll See You In My Dreams, Blue And Sentimental, The Five O’Clock Whistle, Linger Awhile, The Créon Sun Blues (Child). Brad Child (ts), Dave Blenkhorn (g), Sébastien Girardot (b), Guillaume Nouaux (dm), Créon, 12 juin 2017, durée: 1h12’35”.
Eh non! Les “spécialistes du jazz” n’ont pas réussi à exterminer tous les swingmen! Pour preuve ce blancement “lazy” dans “When My Dreamboat Comes Home”, stigmat du swing. Interprétation réhaussée par le jeu “méchant” (d’autre diront velu) du sax ténor et l’art de monter la tension du guitariste. Brad Child (né le 17 octobre 1965) a étudié au Sydney Conservarorium of Music. Cet Australien est sur la scène jazz de son pays depuis plus de 30 ans. Mais c’est au très fréquentable festival d’Ascona que j’ai découvert son existence. Brad joue au sein du Swing Rocket du trombone Dan Barnett (à ne pas confondre avec un autre Dan, Américain) dont la rythmique a soutenu en février 2018, Michel Pastre, Drew Davies et lui pour un International Tenor Sax Summit. Dans ce CD récent, l’accompagnement est prodigué par “LA” Section Rythmique, connue désormais sous l’abréviation LSR et qui est une garantie de réussite là où le jazz est concerné. Brad quant à lui s’inscrit dans la lignée des Texas Tenors (“Blue And Sentimental”), de Sam “The Man” Taylor (“Poor Butterfly”), Willis Jackson et quelques autres au gros son et au phrasé véhément. Le “Exactly Like You” pris sur tempo lent le démontre d’emblée. Arnett Cobb n’est pas loin. On peut penser aussi furtivement à Ben Webster dans “The Very Thought Of You”. L’expressivité prime donc chez Brad Child. Ecoutez l’exposé ténor/basse dans “When I Grow Too Old To Dream” (le développement véhément et growlé n’est pas sans faire penser aussi à l’altiste Earl Bostic). Dave Blenkhorn, dans l’esprit de Wes Montgomery, y déploie un beau sens du swing. C’est la couleur bluesy que Dave met en avant dans l’excellent “Pennsylvania 6-5000” où dans son solo, il est bien poussé par Guillaume Nouaux, et où Sébastien Girardot offre un très bon solo. Sur des tempos plus vifs, “Slow Hot Wind” et “’ll See You In My Dreams” (solo de Guillaume Nouaux) font partie des très bons moments du CD. Le swing y est de rigueur avec LSR au top! “The Five O’Clock Whiste” balance bien et Sébastien Girardot y prend un solo concis et efficace (beau son de contrebasse!). Guillaume Nouaux est magistral dans “Linger Awhile” (introduction, accompagnement et solo). Le programme du CD se termine dans le blues lent low down à souhait. Ce disque n’est pas pour ceux qui déteste le blues+swing, c’est à dire le jazz de tradition. Les autres… revivent, pensant sans doute que ça n’existait plus.
Michel “Bunk” Laplace, 21 février 2018
Way Down – Duo CD with Dave Blenkhorn
LEROY JONES:
“More often what usually comes to mind when you think of a jazz duo, is a combination
of voice with instrumental accompaniment. Although at the end of the tracks, within this delightful selection of various interpretations, an unpretentious vocal is rendered by guitarist David Blenkhorn. This collaboration between guitar and contra-bassist Sebastien Girardot delivers a fresh, captivating selection of songs that epitomize musical intimacy.
The disc opens with a fresh arrangement on an old spiritual and mainstay within the tradi- tional jazz repertoire, Just A Closer Walk With Thee. Beginning with a rubato intro, guitar and arco bass, they dance into a jubilant stroll establishing a de nitive tempo in 3⁄4 time. With bass switching to pizzicato, a bass line and strong groove is maintained throughout, allowing the guitar to embellish on the melody, expanding rhythmically and harmonically to a climax, with the theme being stated once again, exiting the way they entered and nally vamping out, a tempo, this time with the jaunty bass line being established by the guitar.
I could go on and on about how nice this recording turned out. But when music is great, there’s really no room for criticism. Simply a smile of joy is an appropriate riposte. Finally, I thought it was necessary to set the mood with a detailed description of the opening track, which in my opinion gives a clear expectation of what is yet to come. Besides, there should be some space left for words from someone else who enjoys this recording as much as I do. Well done, my gifted brothers!”
1 Just a closer walk with Thee
2 Way down yonder in New Orleans
3 Re ections in D/Manoir des mes reves 4 Old fashioned love
5 The Vespers
6 Lotus Blossom
7 Bourbon street parade
8 Black Butter y
9 Day dream
10 Stardust
Uros Peric – Ray Charles Tribute
In 2004 grieved by the death of his principal influence Ray Charles, UROS PERIC, a young solvenian singer, pianist and composer, decides to dedicate his career to the music of his idol.
Having recorded 12 albums and touring relentlessly thought the world with guests such as Sheila Raye Charles or with a selection of Ray’s sidemen, trumpettist David Hoffman or original raylette Renee Collins Georges.
Over the last few years Uros’ has found enthusiastic success with the French audiences, which has been gained by the emotional intensity of his performances and his selection of “first call” sidemen, the guitarist David Blenkhorn, Double Bassist Sébastien Girardot, Drummer Guillaume Nouaux and tenor saxophonist Drew Davies.
Uros accompanied by these same musicians and the trio of slovenian backing singers known as the Pearlettes, decided to take the success of the stage to the studio and record a selection of songs chosen from Ray’s repertoire, from blues to rhythm ‘n’ blues, and from soulful ballad to country and western, the only outsider to Ray’s music is the track “A day in May” composed by Uros Peric which in the tradition of Ray Charles has a Nat King Cole vibe.
Uros Peric brings Ray Charles back into the spotlight and is considered by the Ray Charles Foundation as the best current representative in the world!
Enregistré les 27, 28 et 29 décembre 2016 à Jump Start Studios, France
Enregistrement et mixage : Drew Davies
Mastering : François Biensan
Conception graphique : Drew Davies
Crédit photos : Hubert Audigier, Gaetan Delesalle
Contact scène :bertrandhenrion@jazzlegends.com
+33(0)6 07 15 98 97
Uros Peric – Chant, Piano, Orgue
Drew Davies – Saxophone Ténor
David Blenkhorn – Guitare
Sébastien Girardot – Contrebasse
Guillame Nouaux – Batterie
Suzana Labazan, Blazka Oberstar, Sandra Feketija – Chœurs
En 2004, bouleversé par la disparition de Ray Charles, UROS PERIC– jeune pianiste, chanteur et compositeur slovène de 27 ans – décide de consacrer sa carrière à perpétuer l’œuvre de son idole.
Très productif, avec une douzaine d’albums à ce jour, des séries de concerts sur les scènes internationales, avec parfois des invités tels que la fille du “Genius”, la chanteuse Sheila Raye Charles, ou certains de ses anciens musiciens comme le trompettiste David Hoffman ou l’ex-Raelette Renee Collins Georges.
Depuis quelques années, Uros Peric se révèle au public français, qui lui réserve un accueil des plus enthousiastes, conquis par l’intensité émotionnelle de ses prestations. Sur scène, il est le plus souvent entouré par les “sidemen” de premier choix que sont le guitariste Dave Blenkhorn, le contrebassiste Sébastien Girardot, le batteur Guillaume Nouaux et le saxophoniste-ténor Drew Davies
Ce sont ces mêmes musiciens qui accompagnent Uros et ses Pearlettes sur ce nouvel opus “Made In France”, constitué d’une sélection de morceaux choisis du répertoire de Ray Charles, du blues au Rhythm ‘n’ Blues, à la ballade et à la Country – la seule exception étant “That day in May” composée par Uros Peric, un “clin d’oeil” à Nat “King” Cole(lui-même ayant été le grand inspirateur du “Genius”).
Uros Peric nous fait revivre Ray Charles, un “Tribute” dont il est le meilleur représentant actuellement dans le monde!
Enregistré les 27, 28 et 29 décembre 2016 à Jump Start Studios, France
Enregistrement et mixage : Drew Davies
Mastering : François Biensan
Conception graphique : Drew Davies
Crédit photos : Hubert Audigier, Gaetan Delesalle
Contact scène :bertrandhenrion@jazzlegends.com
+33(0)6 07 15 98 97
Uros Peric – Chant, Piano, Orgue
Drew Davies – Saxophone Ténor
David Blenkhorn – Guitare
Sébastien Girardot – Contrebasse
Guillame Nouaux – Batterie
Suzana Labazan, Blazka Oberstar, Sandra Feketija – Chœurs